Le lancement des centres de technologie de santé montre que les NTIS sont toujours proches du cœur de Khairy Jamaluddin

Il s'avère que le Sandbox de la technologie nationale et de l'innovation (NTIS) qu'il a lancée est toujours proche du cœur de Khairy Jamaluddin (pic, ci-dessus) **Heart, même s'il est maintenant le ministre malaisien de la santé. Il a été le ministre de la technologie des sciences et de l'innovation lorsqu'il a lancé le NTIS en juin 2020.

Comme il l'a partagé dans ses remarques sur le ven à Kuala Lumpur, à un auditorium bondé assisté au lancement des centres de technologie de santé, introduit pour compléter et renforcer la proposition de valeur des NTIS: «L'idée du NTIS était très simple. Créer un environnement où la technologie et les solutions peuvent être testées, itérées et financées dans un environnement où les approbations réglementaires sont moins strictes pour que les produits se produisent rapidement où ils pourraient être financés (par le secteur privé). »

Les cinq hôpitaux sont-l'hôpital Putrajaya et le National Cancer Institute; Hôpital de Tunku Azizah, l'hôpital pour femmes et enfants de Kuala Lumpur, l'hôpital Bera à Pahang et l'hôpital Besar Rembau à Negeri Sembilan. Il y avait à l'origine quatre hôpitaux, mais Khairy a ajouté l'hôpital Rembau lors de son annonce. Parce que j'entends le député de Rembau (membre du Parlement) est un gars assez fiable, a-t-il plaisanté. Khairy est le député de Rembau depuis 2008.

Khairy a souligné les règlements de longue date tels que Poisons Act 1952, la télémédecine Act 1997, la loi sur les médicaments (publicité et ventes) 1956 et l'organisme de réglementation de l'Autorité médicale des dispositifs (MDA) et a déclaré: «Ces législations et institutions ne doivent pas résister à la manière ou innovation mais faciliter le bac à sable. »

Déclarant que le ministère est à bord, il a ajouté: «J'ai demandé à KKM (ministère de la Santé) de fournir un soutien total aux ITIS afin que quelque chose qui n'a pas encore officiellement enregistré ou passé par tous les cerceaux de conformité réglementaire puisse être déployé dans un contrôlé environnement dans nos hôpitaux. »

Les trois hôpitaux urbains ont été sélectionnés en fonction de leur préparation à l'infrastructure technologique, des ressources humaines qualifiées et de leur capacité à s'intégrer aux technologies actuelles telles que Internet et la 5G, le matériel tandis que Bera est un nouvel hôpital dans une ville rurale avec une population d'environ 105 000 habitants.

Les cinq sites seront utilisés pour les tests de la robotique, l'Internet des choses médicales (IOMT), tout en tirant parti des installations 4G / 5G avec les deux ministres exprimant l'espoir que le résultat final est plus efficace et plus efficace de prestation de soins de santé pour les Malaisiens.

L'annonce a été accueillie par l'optimisme gardé par les fondateurs de la technologie de la santé, dont certains sont assez frustrés par le rythme lent que le ministère de la Santé a évolué pour soutenir l'innovation via la mise à jour des réglementations obsolètes cohérentes avec les innovations numériques qui se produisent dans les soins de santé.

«Il est encourageant de voir les ministres de Mossi et Moh sérieux en se réunissant pour les centres de technologie de santé et, par conséquent, avec le bon type de soutien dans les compétences, le financement et le patronage politique, nous sommes bien partis», note un premier fondateur de la technologie de la santé.

Il souligne que la Malaisie a tous les bons ingrédients pour une révolution HealthTech, c'est-à-dire

-RISSION DEMANDE en raison de l'escalade des conditions chroniques

-DEMAND DESSIONNANTS DANS LA POPULAIRE

-très qualifié et abondance de médecins et de professionnels de la santé

-Plethora des entreprises technologiques de la santé

Mais il prévient: «Si nous manquons cela, nous manquerons à nouveau une autre opportunité en or.»

D'autres sont plus optimistes. «En tant que première entreprise en Malaisie, le feu vert par le MOH pour émettre des ordonnances électroniques, DOC2US applaudit l'annonce par le gouvernement des centres de technologie de santé pour diriger l'adoption de technologies innovantes pour renforcer davantage le secteur des services de santé publique», a déclaré le Dr Raymond Choy, fondateur et PDG de Doc2US.

Certes, il y a encore du travail à faire des processus à modifier, l'adhésion des médecins et du personnel de soutien et des services de santé de l'État-pour vendre la valeur des cinq hôpitaux faisant partie des centres de technologie de santé.

Ici, Khairy a un message aux directeurs médicaux des cinq hôpitaux choisis. Bien qu'il y ait plus de travail pour eux pour s'adapter aux entreprises du NTIS, ils seront également les premiers à travailler avec des solutions innovantes qui bénéficieront à leurs patients et à leur personnel hospitalier.

«Ils seront les premiers à déployer ces solutions dans un cadre expérimental, mais, plus tard, ils seront les candidats naturels pour adopter ces technologies en premier.»

Faire partie du banc d'essai signifiera également que les hôpitaux sont prêts à déployer et à adopter de nouvelles technologies. L'autre avantage est que les hôpitaux pourraient également attirer les pharmas MNC.

«Ayant prouvé qu'ils ont la bonne structure réglementaire avec les directeurs hospitaliers et les médecins qui pensent de manière innovante et ont l'habitude de travailler avec de nouvelles technologies seront une attraction pour ces entreprises qui voudront travailler avec eux.»

Des visions similaires conduisent les ministres Mossi et MOH

Bien qu'il soit inhabituel pour un ministre de tendre la main à un autre ministère pour collaborer-ils sont tous occupés à essayer de rencontrer leurs propres KPI, le fait que Khairy ressent une certaine propriété des ITS, couplée à la relation étroite qu'il a avec le Dr Adham Baba, le Le plus ministre actuel avec qui Khairy a échangé des portefeuilles, est ce qui a rendu possible l'introduction des centres de technologie de santé.

Adham a qualifié Khairy de «mon bon ami» et Khairy attribue à Adham pour son leadership dans l'exécution des NTIS.

Faire passer cette exécution au niveau supérieur est l'endroit où les centres de la technologie de la santé entrent en jeu.

Comme le reconnaît Khairy, «Je sais que la grande frustration des startups et des entreprises technologiques en Malaisie consiste à tester et à itération de leurs produits et solutions en raison de barrières réglementaires.» Le NTIS a été lancé spécifiquement pour aborder ce point de douleur, mais il n'a pas été complet comme après le bac à sable, les entreprises seront impatientes de valider davantage leur solution dans un environnement en direct. C'est pourquoi Khairy dit qu'il est «si heureux» d'introduire les centres de technologie.

Notre vision est de transformer des vies en fournissant une innovation médicale et durable abordable, inclusive et durable, a déclaré Adham avec Khairy ajoutant que l'introduction des centres de technologie de la santé fait partie de la vision du MOH pour passer des soins malades aux soins de santé et au bien-être.

«Pendant trop longtemps, nous avons dépensé trop d'argent pour les soins de maladie. Nous voulons garder les gens en bonne santé, nous assurer qu'ils ne sont pas malades. Nous allons passer aux soins de santé préventifs et promotifs. La technologie aide à cela. »

Pièce manquante-Système EMR sur le point d'être démarré, rôle de Mysejahtera

Mais les NTIS et les pôles de la technologie de la santé ne sont pas tous et finissent tous. Comme Khairy l'a noté, la pièce manquante de notre système de santé publique est les dossiers médicaux électroniques (DME). Sans cela, toutes les solutions que nous déployons n'auront pas de sens. »

La bonne nouvelle ici est que le MOH a reçu des propositions pour un appel d'offres EMS qu'il a publié et est sur le point de décider de l'offre gagnante qui verra un déploiement pour tous les hôpitaux et cliniques publics à partir de l'État de Negri Sembilan, a déclaré Khairy qui a également touché Sur le rôle, l'application Mysejahtera très décriée jouera également.

Avec le MOH en transition Mysejahtera d'une application de suivi covide à une application de santé publique, le gouvernement a ajouté la possibilité pour les utilisateurs de garder «une version légère de votre DME que vous pouvez partager», explique Khairy. Les données vous appartiennent et vous décidez avec qui vous souhaitez les partager, a-t-il souligné.

Khairy a l'intention que le projet EMS soit le catalyseur du MOH pour passer du papier lourd aux hôpitaux sans papier et que l'EMS soit la fenêtre sur le dossier de santé des Malaisiens.

Ce ne sera pas un voyage facile, reconnaît-il, je pense qu'il y a de beaux jours à venir pour l'innovation médicale et la technologie en Malaisie. L'idée est de faciliter le développement et la mise à l'échelle des startups de santé malaisiennes dans les entreprises mondiales.